UN JEU DANGEREUX

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UN JEU DANGEREUX

@histoire100

🛑UN JEU DANGEREUX🛑

PARTIE 1

 Mon Dieu, lĂ  je n'ai plus d'Ă©chapatoire.

Hariss m'avait trouvĂ© dans la cuisine preparant le petit dĂ©jeuner trĂ©s tĂ´t. 

Normalement, il se reveillait vers 9h, prenait sa douche, s'habillait avant de venir me retrouver Ă  table comme ces trois derniers jours.

Mais là, il m'a trouvé dans la cuisine, aux fourneaux et le contact de sa peau, de cette chaleur derriére moi était la preuve qu'il était, complétement...nu.

Oh mon Dieu...NON!

-huuuuummm....ça sent super bon ce que tu prépares mais je crois que je vais me contenter de toi pour le petit déjeuner.

Il se colla encore plus Ă  moi et je sentis son Ă©rection dure contre mes fesses.

-Hariss, tu vas me bruler lĂ , fis-je en tentant de me degager de lui pour le fuir.

Il me rattrapa

-Moula, viens là. Tu ne m'échapperas pas aujourd'hui. Depuis ton retour de Paris j'arrive pas à t'avoir. Soit tu as la migraine, soit tu es fatiguée. Tu as eu trois jours à te reposer. Viens la.

-Harissssss....

-humm...quand je te disais que ta sœur t'avais changé tu ne me croyais pas. Regarde, tu m'appelles même comme elle et j'adore la sensualité que prend ta voix lorsque tu m'appelles Hariss. Ça en devient même sexy. Allez redis le moi...comme ça...oui, fit-il en entrecoupant ses mots avec des bisous et en me serrant trés fort.

Pardonnez moi mon Dieu. Pardonnez moi.

Mon corps en devenait tout chaud.

Il m'embrassa et je commençais à trembler.

L'avais-je autant desirer ces derniers jours au point d'en paraitre une débutante? Ou est ce le fait de le voir sous un autre angle depuis mon retour qui me rendait dans cet état?

Toujours est-il que j'avais le corps en feu et là il fallait que je me decide vite: le laisser aiguiser encore plus ce feu en y jetant ce baton qu'il pressait contre moi ou l'éteindre moi même en remettant mes idées en place.
Pendant que je reflichissais, il stoppa notre baiser et me retourna brusquement en enlevant mon T-shirt.

Son souffle derriére mes oreilles me fit frissoner. Il souffla doucement le long de mon cou pour faire attérir ses lévres mouillées sur mon dos où il deposa petit a petit de doux baisers.

Je fermais mes yeux et deglutis.

Sentant surement mon souffle coupé, il introduisit son doigt dans ma bouche et me le fit sucer.

Je suis dans un fourneau. Oui dans un fourneau. En témoigne toute la sueur qui degoulinait de mon front.
 Pas trĂ©s sexy je sais mais moi seul sait ce que je ressens en ce moment...
Alors que mon cerveau reclamait un arrĂŞt, je le sentis Ă  sec en moi sans crier gare.

Mes pieds decolĂ©rent lĂ©gerement du plancher pour pouvoir soutenir cette dĂ©licieuse suprise qui venais de s'introduire au plus profond de mon ĂŞtre. Je criais alors sans le vouloir. Et au moment de reprendre mon souffle, je reçus un deuxiĂ©me coup aussi profond.
Telle une vague en haute marée, une honde de plaisir traversa tout mon corps et vint se loger dans ce coin de mon cerveau qui reclamait une pause, un arrêt, le faisant ainsi taire.
Je ne savais plus oĂą j'en Ă©tais maintenant et pourtant, je sentis qu'il ne m'avait pas rempli totalement mais il Ă©tait toujours en moi.
-dis moi, Moulanie, qu'est ce qui s'est passé à Paris? Ce n'est pas toi ça. Putaiiiiinnnn....cria t-il presque en se retirant. Il me retourna et d'un geste presqu'instentané au premier, il me fit grimper sur le rebord de la table. J'avais juste la moitié des fesses posée.

Yeux fermĂ©s, il s'approcha de moi et m'enleva mon gros T-shirt et appuya sa paume sur mes seins. 

Je fermais mes yeux à mon tour et haletais et lorsqu'il posa son autre main attérit sur ma perle, je la sentis soudainement grosse, dure et pleine.

Je voulais qu'il me prenne, je n'en pouvais plus. J'avais besoin de ça, là maintenant... je voulais jouir, je ne pouvais pas attendre.

Il m'approcha de lui, pris son membre et le fit coulisser sur ma fente, j'en tremblais. Au moment où j'attendais son baiser, il me pénetra et nos deux bouches restérent entreouvertes, cherchant chacun l'air chez l'autre.

 Il me suça la lèvre et avant de me remettre de tout ça, il m'embrassa et ma langue entremĂ©lĂ©e Ă  la sienne, ses lĂ©vres contre les mienne, sa bouche contre ma bouche, il me souleva et me colla au mur, ondulant ses reins et me faisant le sentir au plus profond de moi.


-ouiiiiii

Je reçus un coup sec, exquis, satanique, malefique. 

C'Ă©tait juste jouissif ce que Hariss faisait lĂ .

-dis moi stp qu'est ce que tu as mis dans Ă  l'interieur de tes cuisses qui est entrain de me rendre dingue. God. Tu es plus bonne, plus delicieuse que je ne t'ai jamais connu de ma vie. 

-je ne sais pas, Hariss. Je ne sais pas. Tout ce que je sais, c'est que j'ai envie de te retourner là, de me mettre sur toi et te chevaucher, comme ça je te sentirais au plus profond de moi.

Il recula un peu mais toujours en moi et en me plaquant toujours au mur. Il plongea un regard étonné au plus profond de mes yeux avant de s'enfoncer en moi m'arranchant un cri de surprise.

Puis, il me porta jusqu'au salon sur le canapé alors que j'avais toujours les jambes autour de sa taille et m'y déposa.

J'avais besoin d'une pause...d'un repis... je venais d'avoir un orgasme puissant.

Mais couchée, lui debout devant moi, je me delectais de ce tableau que j'avais en face de moi: Ibrahima Hariss Diop, membre bandé, tendu et pointé vers moi, torse ruisselant de sueur et sourir malicieux aux lévres.

J'avais envie de mettre mes mains sur mes yeux, ĂŞtre aveugle.

Non, lĂ  n'est pas ma place. Ce que je vois lĂ  n'est pas pour moi. 

J'essayais de faire réagir mon cerveau mais là c'était mon corps qui commandait, mon entre jambe plutôt.

Je me relevais alors et pris la hampe de Hariss dans la bouche en tournant ma langue autour d'elle puis je commençais à le suçait comme si j'avais à la bouche une glace au chocolat craquant, fondant, brulant.

Il émit un rugissement et voulut me ralentir mais j'étais beaucoup trop excitèe pour pouvoir suivre ce rythme lent qu'il voulait.

Il se retira brusquement alors que je prenais pieds.

-pas comme ça, fit-il avec autorité, en me fixant. Je veux savourer la chaleur de ta bouche sur mon membre. Douce...ment.
Je le repris et suivis son rythme qui m'énerva au debut puis j'y pris plaisir lorsqu'il m'entraina sur le canapè en me donnant de petits coups dans la bouche pendant que je m'occupais de ses bourses.

Il poussa sa tête en arriére et gémis bruyament.

J'eus une lueur de victoire entre les lévres tout en le suçant, contente que ma langue, ma bouche, mez lévres aient autant d'emprise sur lui.
-allez tourne toi, jouir dans ta bouche me fait envie mais je n'en veux pas maintenant.

Il me fit me lever et je mis mes mains sur le dossier du canapé, à quatre pattes, le dos rentré et les fesses sorties.

Pas confortable comme position mais je sentais que j'allais m'Ă©clater et je ne cherchais que cela.

Je le sentis se glisser dĂ©licieusement entre mes fesses et sa main caressait ma perle. 

Je ne savais le quel des deux mouvements me procurait autant de plaisir.

Je devais être normalement fatiguée par mes deux précédents orgasmes mais mon corps réclamait du sexe.
 J'Ă©tais Ă  la diet depuis plus de six mois et j'en devenais malade.

Je sentis le membre de Hariss jusqu'Ă  mes entrailles. Ce qui me fit crier.

Il me pilonnait et je cherchais Ă  m'aggriper sur les plis cousus du canapĂ© en cuir qui me glissĂ©rent des mains. 

Je manquais d'air. Son rythme était brutal, saccadé...je recevais les coups et les savourais tout comme je savourais chaque bouffées d'air que je recuperrais durant la tierce qu'il se retirait avant de me pénétrer de nouveau, encore et encore....

-oooh...purééé...Moulani...tu es chaude....étroite...bonne...je ne peux plus me retenir....

Et lĂ , ses coups se firent plus intenses, plus violents. 
J'adorais ce feu entre mes fesses, dans mon interieur.

Il me releva un peu, me colla à lui. Il ondulait ses reins sur moi et me donnait des coups tantôt doux tantôt brutal en m'embrassant fougeusement et au moment où je sentis son membre gonflè, dur me remplir plus que la norme, il me suça hargne la lévre et avec un cri bestial, il se déversa sur moi.
Moi, je tremblais de plaisir, de tout mon corps qui était restait collé au tien toujours dans la même position.

On haletait tousles deux...incapable de se relever ou de prononcer un mot.

Moi il me fallait comprendre ce qui venait de se passer.

Il me fallait un petit rappel Ă  l'ordre personnel.

Mais je dois avouer que jamais je n'avais jouis de la sorte et autant en moins d'une heure.
 Jamais je n'avais autant pris de plaisir Ă  faire l'amour.

Jamais je n'avais senti un homme comme je venais de sentir Ibrahima Hariss Diop.

Et jamais je n'aurai imaginé que ceci arriverait...même dans mes pensées les plus perverses.

Parce que tout simplement, cela ne devait JAMAIS, mais JAMAIS arriver.

Ça ne devait pas se passer comme ça..

Je viens de coucher avec le mari de ma jumelle et il ne s'est pas rendu compte que ce n'Ă©tait pas sa femme.

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